Birmanie en Photos ( partie 2 )

Le Scaphandre et le Papillon

Je n'ai pas été souvent au cinéma durant les derniers mois. Trop d'activités, peu de temps. Le cinéma me manquait. J'ai eu la chance d'aller voir le film "Le scpahandre et le papillon" récemment. J'y suis allé a reculons, le synopsis me laissais ne me disait rien de plus. Je ne connaisais personne qu'il l'avait vu. Et pourtant. Quand je décide de mettre en écrit mes pensées sur un film, c'est que celui-ci a réussi a venir chercher mes émotions. Pour ceux qui ne sont pas au courant, "Le scaphandre et le papillon", est une histoire vraie, soit celle d'un homme qui se réveille un jour a l'hopital d'un coma, suite a une attaque célébro-vasculaire qu'il a vécu trois semaines auparavant. L'homme, Jean-Dominique Bauby, père de trois enfants, se retrouve du jour au lendemain paralysé. Son cerveau fonctionne encore mais son corps ne réponds plus.
Jusque là, on peut croire que cette hsitoire tombera dans le melodrame. Et bien non. Des les premières images, la caméra nous plonge dans la peau de Bauby. On resteras prisonnier de ce corps pends une bonne partie du film, comme si l'acteur principal était nous le spectateur. A travers les moments de réflections de Jean-Dominique, on rit et on pleure. Malgré le fait que l'ame de Beauby soit enfermer dans ce scaphandre, il se permet de faire voler son imagination en notre compagnie. "Le scaphandre et le papillion" nous rappelle que nous sommes vivant et libre, et de pas oublier de vivre pleinement chaque jour. 9/10 cactus

Free Burma !

La photo de l'entête de ce blog à été prise en Birmanie par moi. Le peuple souffre sous le silence et ce silence doit être dénoncé. Vive la Birmanie libre.

La portière

Je l'ai dit un million de fois, je suis plus que prudent quand je roule en vélo ! Je suis partie un mois avec ma bécane en asie et j'ai eu zéro problème. J'ai parcouru des millions de kilomètres à Montréal et en province et jamais rien. Pas un petit bobo. Sauf mercredi passé. Il fallait bien que quelqu'un vienne me gâcher mon petit plaisir. Comme d'habitude, j'ai pris le même chemin que je prends pourra aller chez Ericsson. Je montais la 2ìeme Avenue, une rue à double voie et à sens unique. Je longeait la gauche et dépassa un camion stationné quand soudainement la portière droite s'ouvrit dans ma face. Bang ! Comme la porte d'un camion est un peu plus haute, c'est mon bras gauche qui a absorber le coup. Mon corps a été projeté dans le milieu de la rue. Dieu merci, pas de voiture derrière moi sinon, j'aurais eu de plus gros bobos :) Et merci à mon casque. je l'avais sur la tête et il m'a encore protégé ! Le passager du camion était plus ébranler que moi je crois. Moi qui n'avait qu'un prune sur le bras et une bonne douleur dans ma cuisse droite. Pas rien de cassée, tout en un seul morceau.

Histoire de pêche

Vendredi soir, Alain, ami et collègue de travail, m'a proposé de l'accompagner afin d'aller pêcher aux Iles de Bourcherville. La dernière fois que j'avais pêché ( et non péché attention :) c'était avec aussi il y a environ cinq ans. On avait fin trois heures de route de garnottes pour se retrouver dans un lac ( et les ours autours de celui-ci) Cette fin de semaine là, c'était moi qui avait pris le premier poisson... un doré d'au moins cinq centimètre... c'était un bébé Doré :) Et c'Est le seul poisson qu'on avait pris et bouffer cette fin de semaine là ( ALain avait par la suite qu'il était un grand pécheur en attrapant un monstre de brochet par la suite... mais la moumoune d'Alain l'a vite remis à l'eau ! En tout cas, nous sommes partis d'Ericsson vendredi après-midi à 16:00. On a été cherhcer le matériel néccessaire à tous bons pêcheur sont les cannes, les vers et la bière. ( Je remarque que ce dernier est le plus utile ) à mon deuxième lancer, ca y est, ca mord ! Un bébé brochet d'au moins 10 centimètres ( je m'améliore, je m'améliore ) on le remet à l'eau. Alain lui a réussi à me démontrer qu'il était digne d'être interviewé à "Chasse et pêche" en attrapant un gros doré. Mais un gros ! Une bête quoi. Alain, je veux juste te dire que c'Est 1 à 1 encore fois. Mais gare à toi, mes poissons sont de plus en plus gros... et on jour j'aurais le plus gros.

NAINporte quoi...

Jeudi soir dernier Vianney, qui revenait du Brésil, et moi avons décidé de se donner rendez-vous au Baraka, un bar de la rue Mont-Royal afin de discuter de trucs qui nous concernaient. Mais cette discussion n'est pas ce que j'ai envie de vous parler.

On étaient accotés au bar entrain de discuter quand une fille, seule, est venue s'installer à coté de nous. On a commencé à discuter ensemble après que tous les trois ayont commander la même bière et que la serveuse en a rapporter une plus grosse à Vianney. La fille, dont je crois que le nom était Cathy, nous raconta qu'elle revenait tout juste de Gaspésie. Personnellement, ce n'était pas le genre de fille qui me fascine mais quand même, elle était sociable. Elle nous raconta qu'elle s'emmerdait un peu là-bas avec les crevettes et le homard. Mais qu'elle y retournait à la fin juillet parce qu'il se passait une gros évènement genre "Fort Boyard" ( Est-ce que ca existe toujours ca ? Est ce que le vieux sage est toujours vivant ) Je lui ai demandé si les 2 nains y étaient ce qu'elle m'a vitement refuter. La discussion c'est poursuivuit ensuite sur d'autre trucs mais je me blasais un peu et j'avais hâte de rentrer me coucher. Vianney est sortie se griller un cigarette. Lorsqu'il est revenue 5 minutes plus tard, il avait un grand sourire et... un nain à ses cotés. Sur le coup, je me suis qu'il était bien con :) Des nains, on en voit pas à tout les jours et on peut même compter les jours où on en rencontre. Et il fallait qu'il vienne me rendre mal à l'aise ! Mais il nous a raconté que c'était son premier voisin, et ainsi le premier québécois, qu'il avait rencontré quand il déménagé de Laval ( en France ) pour Paris. Son voisin était québécois. Ils ne s'étaient revus en 10 ans et voil`s qu'ils se rencontre sur la rue Mont-Royal. Le gars était vraiment sympa et on a bien rigolé. En tout cas, la lecon de cette histoire : Si vous dite NAINporte quoi, ils apparaissent comme par magie.
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En apparté, j'étais dehors pendant un bout de temps quand une femme transportant son enfant, dans un bout de tissus juxtaposé à son bedon est passé devant moi. J'ai sourie à l'enfant qui m'a vite sourie à son tour. Plus ils avancaient, plus la tête de l'enfant se penchait sur le coté pour rigoler avec moi. La femme s'est bien posée des questions sur les gestes de son petit. Et elle a viré la tête elle aussi. Bref, une situation qui nous arrives à tous les jours, à tout le monde. On a tous fait ca une fois dans notre vie. Sourire à un enfant. Mais cette fois-là, ca m'a fait du bien. J'en avais de besoin et la réponse de l'enfant m'a fait un très grand bonheur avec les dernières semaines un peu dure. Comme quoi la vie continura. Et que le bonheur passe. Il suffit de le prendre.

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